Comme chaque année, la fin du mois d’Avril est marquée par la semaine du Tour Auto. Un événement toujours aussi sympathique à suivre tant par la variété que par la rareté de certains modèles engagés dans la 28ème édition de cette course composée de 240 équipages (liste ici).
Pour être éligibles, les voitures doivent obligatoirement avoir participé au Tour de France Auto entre 1951 et 1973. Après un passage sous les nefs du Grand Palais afin d’effectuer les dernières vérifications techniques, la pose des cellules de chronométrage et des stickers de numérotation, le temps était donc venu de quitter cet écrin pour partir à l’assaut d’un tracé en 5 étapes les menant de Paris à Deauville via Dijon, Lyon, Vichy, Tours tout en passant par des épreuves chronométrées (Compétition ou Régularité) et quatre circuits, ceux de Dijon-Prenois, Magny-Cours, Charade, Le Mans Bugatti (lire notre article ici).
Avec un départ prévu dès 6h00 pour les premières, il fallait donc se lever très tôt aujourd’hui mardi pour espérer voir ces belles anciennes quitter Paris avant la formation des premiers embouteillages. Toutefois après deux journées passées en statique à l’intérieur du Grand Palais, le démarrage n’est pas toujours des plus simples, nécessitant pour certaines d’être poussées sur plusieurs centaines de mètres avant de parvenir à démarrer…
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