En arrivant sur le circuit Dijon Prenois de bonne heure, le ciel est lourd et le brouillard peine à quitter les lieux.
Je me jette dans les paddocks profitant d’une affluence plutôt faible côté spectateurs et déjà pas mal d’action pour les mécanos qui préparent la journée.
Et oui on peut faire du circuit avec des freins à tambours !
Light is Right disait Colin Chapman, en voici l’illustration parfaite avec cette XI qui malgré son petit 1100 joue dans les 10 premiers du plateau Sixties Endurance face à des autos bien plus puissantes.
La 2.0 Cup est un nouveau plateau Peter Auto, il regroupe comme son nom l’indique que des Porsche 911 2.0 L
On pouvait craindre une certaine monotonie visuelle avec un plateau monotype, mais les décos diverses et variées ne manquent pas
Le paddock du Greatest Trophy fait grise mine avec 12 voitures, une petite nouvelle attire mon regard : une sublime 250 GT SWB dans une livrée que je n’avais pas encore vue en vrai !
Le paddock des Formule 2 est lui aussi assez discret
Telle une apparition, pas une mais bien 2 BMW M1 alignées comme à la parade !
Une 935 K3 fait tranquillement ses vocalises pour faire chauffer son Flat 6. Et oui sous ses ailes bodybuildées se cachent bien des dessus de 911 standard !
Un faux-air d’Ami 6 ou de Ford Anglia sous cet angle 🙂
Boite mécanique, pas de doute !
Le Mans 1981, elle se porte bien pour ses 37 ans
Ce n’est pas Nicolas D’Ieteren qui dira le contraire, importeur Porsche / Audi / VW pour la Belgique.
Une Lola T70 refroidi doucement
Pendant qu’une autre fait chauffer son huile de boite
Une Ford GT40 toute en rondeurs
En parlant de rondeurs cette E-Type n’est pas en reste, miamm !
C’est l’heure des premiers essais pour le CER2
Endurance toujours, mais un poil plus récente, quelle bestialité cette SLS GT3
BBS, une valeur sûre
Et pour finir, n’allez pas croire qu’il n’y a que des autos sexy dans les paddocks du GPAO, il y a aussi de surprenants 2 roues !
Crédit photos @ Ambroise Brosselin.