Seconde journée du Goodwood Revival 2022, l’annonce du crash de l’OVNI s’est répandue, la Police essaye de contenir les curieux, la presse, les croyants et les protestants… Un jour la vérité éclatera !
Côté piste on attaque avec les motards du Barry Sheene Trophy, une grande bande de potes qui vont s’amuser ensemble en piste !
Départ type le Mans, le second pilote tient la monture, en équilibre et à un régime qui lui permet de ne pas caler
Puis c’est parti pour des belles bagarres
Autre course grandement disputée, la Settrington Cup réservée aux Austin J40 … à propulsion humaine
La cérémonie de la victoire est la même, au cigare près 😉
Retour sur les 75 ans de Ferrari avec un regroupement assez incroyable de Ferrari de course des 50s
Deux monuments de l’histoire de Maranello, une 250 GT SWB, la plus belle des Ferrari, suivie par une 166 MM de 1950, le tout premier modèle de route
Dereck Bell au volant de la 250 GTO/64
Je vous ai déjà dit que j’étais fan de la Short Wheel Base dans la famille 250 ?
Les démonstrations ou parades alternent avec les plateaux de course, ce sont les monstrueuses autos du RAC TT qui prennent maintenant la piste pour leur séance d’essais qualificatifs
Et pour aller chercher une bonne place sur la grille, il faut attaquer !!
Quelle ligne la Jaguar Type-E, je suis sous le charme
La fête n’était pas aussi légère que les autres années, les funérailles de la Reine Elisabeth II ayant lieu le lundi suivant…
… nombre de messages ou clins d’œil à la Queen ont pu être observés dans le week-end, les Union Jack sont restés en berne comme à travers tout le pays.
Cherchez le détail qui vous fait dire qu’on est bien en 2022 ?!
Première course du St Mary’s Trophy, Cortina powaaaaa 🙂 (lire ici).
Pour conduire vite une Mini, il faut se soucier du train avant, l’arrière finira toujours par suivre. La preuve par 3 en image.
Le Whitesun Trophy va mettre à mal vos tympans, attaque de V8 !!
Et si vous mettez un Tom Kristensen au volant, ça ne rend pas une GT40 plus sage, au contraire même
Le Stirling Moss Trophy qui s’est fait voler la vedette du vendredi soir revient en ultime course du samedi avec un public nombreux
Une horde de Jaguar Type-E pour défendre les couleurs de l’Angleterre
Face à elles l’Italie est bien représentée avec plusieurs 250 GT SWB
Course d’une heure avec changement de pilote, l’attente est parfois longue ou stressante pour le second à prendre le volant
Mais une fois dans le baquet, c’est attaque maximale dès la sortie des stands
Pour se retrouver en troupeau en pleine bataille
C’est finalement l’AC Cobra violette 822 qui s’impose devant 2 Ferrari 250 GT SWB
Mike Whitaker et Andrew Jordan, deux hommes heureux de cette victoire
Le soleil se cache, la température baisse
Il est l’heure de rentrer les machines à l’abri pour une nuit de repos bien méritée
Et avant de quitter le circuit du Goodwood Revival 2022, un détour par le Freddie March Spirit of Aviation, un regroupement impressionnant d’avions anciens
Le regroupement n’est pas que statique puisque 3 Spitfire assurent le show avec une démonstration incroyable, multipliant les passages à (très) basse altitude ou encore les manœuvres rapprochées qui démontrent toute l’agilité de cet engin mythique.
Dernier détour avant d’aller retrouver les parkings
Les paddocks sont maintenant déserts, il est vraiment temps de partir
A demain pour la 3ème et dernière journée du Revival cher circuit de Goodwood…
Crédit photos @ Matthieu Bourgeois (The Little Spotters).
Merci Vincent pour le commentaire.
Faire le voyage en ancienne rajoute clairement quelque chose à l’expérience ! On en parlait ici : https://www.automotivpress.fr/essai-classic-jaguar-mk2-3-8-1961-highway-to-heaven/
Dommage que votre Scimitar n’ait pas tenu le choc. Une auto originale et peu courante en France, dans quel coin êtes vous ? Une fois remise en forme on pourrait penser à un essai à publier ici 😉
Merci pour ce résumé des 3 journées, les photos sont magnifiques.
Cette année j’avais fait le déplacement, c’est clair que c’est un truc à faire une fois pour les amateurs d’anciennes.
L’ambiance est unique et les courses sont palpitantes.
Le parking des visiteurs à lui seul vaut le détour.
Dommage que ce soit aussi loin, ma Scimitar n’a pas tenu les 2000km :-), 250km avant l’arrivée elle a décidé de perdre un cylindre.