A l’image de la catégorie LMP1, la classe des LMP2 a été âprement disputé et l’écart à l’arrivée entre premier et second, après 6 heures de course, n’est que de 1,398 sec ! Pour la première fois de l’année, G-Drive Racing réussit à imposer son Oreca 05 n°26 pilotée par Stevens/Rusinov/Brundle. Ils devancent le trio Senna/Albuqerque/Gonzalez et leur Ligier JSP2 n°43 du RGR Sport by Morand, la Signatech-Alpine n°36 prenant la 3ème place.
Très chaud au Mont Fuji
Comme l’année dernière, la course des LMP2, aux 6 heures de Fuji, a failli mal se terminer. Will Stevens et Bruno Senna se sont sérieusement expliqués sur la piste pour la gain de la victoire. Bien que le Britannique ait trouvé l’ouverture sur le Brésilien, d’une manière assez musclée en fin de course, il a dû rendre sa place à Senna sur ordre du directeur de course. Mais c’était sans compter sur l’abnégation du pilote de l’Oreca du G-Drive Racing qui repassa la Ligier du RGR Sport by Morand. Au passage du drapeau à damier, 1,398 sec séparait les deux autos. Derrière, Nicolas Lapierre assurait une 3ème place à 27 sec du leader, avec le titre LMP2 (constructeur et pilotes) dans le viseur. L’équipe Tequila Patron ESM place ses deux Ligier JSP2 aux 4ème et 5ème rang. Sans une pénalité pour une vitesse excessive dans la voie des stands, la n°30 pouvait prétendre à la troisième marche du podium.
Derrière, suivent dans l’ordre la Gibson 015S n°42 du Strakka Racing, l’Oreca 05 n°44 de Manor, la BR01 n°27 du SMP Racing, l’Alpine A460 n°35 du Baxi DC Racing-Alpine, l’autre BR01 n°37 du SMP Racing et la seconde Oreca 05 n°45 de Manor.
Tous les classements des 6 Heures de Fuji sont > IcI <
Crédit photos @ FIA WEC