Une des lois primordiales du business est de chouchouter ses bons clients. Bentley semble appliquer ce précepte à la lettre en présentant au Qatar une série spéciale de la Mulsanne. Si la Bentley Mulsanne Majestic ne sera produite qu’à 15 exemplaires, dont 5 uniquement pour le marché du Golfe, le vrai but derrière cette série ultra limitée est de promouvoir son très exclusif département de personnalisation où tout est possible, oui oui vraiment tout !
Extérieurement la grande berline se présente sous une robe blanc ivoire soulignée d’un liseré gris qui s’étire de l’aile avant à l’aile arrière. La calandre est entièrement chromée et les jantes 21’’ Mulliner sont spécifiques elles-aussi et signées Majestic.
Le plus gros du travail se situe comme souvent à l’intérieur, pour le confort des passagers. Les sièges sont recouverts de cuir Magnolia qui s’étend aussi sur les panneaux de porte et le ciel de toit magnifiquement traité. Évidement moult boiseries sont parsemées à l’intérieur, des iPad sont disponibles aux places arrières pour travailler, et un réfrigérateur avec 2 coupes en cristal permet de se désaltérer. Deux coussins du même cuir sont aussi disponibles pour les passager arrières, ainsi que des rideaux pour pouvoir s’isoler de l’extérieur si besoin. Définitivement tout est pensé pour le confort des passagers !
“La Mulsanne Majestic s’inspire de la forte compréhension de nos clients dans les valeurs royales traditionnelles, et une unité familiale forte” explique Trevor Gay, en charge des ventes pour Bentley. “Cette édition très limitée plaira aux amateurs de Bentley qui exigent les plus hauts standards de luxe et de performance pour leur voiture, mais qui recherchent également de l’exclusivité et de la grandeur”.
Coté mécanique, pas de changement, les 512 ch et 1020 Nm de couple restent comme toujours suffisants, le gros V8 biturbo de 6,75L de cylindrée permet d’emmener à bon rythme les 2585 kg de l’engin. La rumeur dit que les 5 exemplaires réservés aux clients Golfiques se sont vendus comme des petits pains, on veut bien le croire !
Source : CP Bentley