48 heures après la mise en ligne des pré-commandes de l’Alpine Première Edition, via l’application mobile Alpine dédiée, tous les exemplaires réservés à la France sont vendus !
13 pays étaient concernés par cette pré-vente, difficile d’estimer le nombre d’exemplaires alloués à la France – pays d’origine de la marque dieppoise – sur l’ensemble des 1955. Quoiqu’il en soit, cet engouement démontre une fois de plus l’énorme attente vis à vis de l’Alpine, voiture dont on ne connais aucunes caractéristiques techniques, à part ses performances attendues sur le 0 à 100 km/h en 4,5 sec ! Quid du moteur 1.8L turbo (certains parlent d’un 2.0L turbo) qui devrait être proposé en 3 niveaux de puissance : 250 ch (185 kW), 275 ch (200 kW) et 300 ch (220 kW) ? Quid de la boite de vitesses : manuelle ou semi automatique à double embrayage Quid du poids : plus ou moins d’une tonne… et de quelles mesures de poids parle-t-on : à sec ou à vide (DIN/CEE), avec ou sans conducteur ? Quid des trains roulants, freins, montes pneumatiques ?… Autant de données inconnues qui n’ont pas refroidis les nouveaux clients d’Alpine à verser l’acompte de réservation de 2000 €. Pour autant, il est bien spécifié dans les CGV que la cession des bons de commandes ne sera pas cessible entre tiers, afin d’éviter toute spéculation.
Alors peut-on dire qu’Alpine est en passe de réussir son paris ? Revenir sur la scène des automobiles de sports, en ayant déjà conquis son public avant même de s’être dévoilée ? Buzz marketing ou risque industriel ? Je vous laisse lire le billet d’humeur, à ce sujet, de notre consœur Miss280ch, ici.
L’avenir nous le dira très prochainement, dès les premiers essais.
Crédit photos @ Alpine